L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a décidé de suspendre la commercialisation de la spécialité « VOGALENE 1 mg/ml, solution buvable », fabriquée par les laboratoires Ivax SAS.
Désormais, la spécialité sera vendue uniquement en pharmacie d’officine et sera remboursable par l’assurance maladie à hauteur de 35 %.
Les autres médicaments « contre l’anxiété et le stress » de la même famille de spécialités que la VOGALENE 1 mg/ml, solution buvable sont :
- le PLEGARIS 50 mg, comprimé pelliculé (traitement des angoisses et du stress), le VOGALENE 10 mg/ml, solution buvable (traitement des angoisses et du stress)
- le VOGALENE 1 mg/ml, sirop pour enfants (traitement des angoisses et du stress), le VOGALENE 50 mg/ml, comprimé enrobé (traitement des angoisses et du stress).
Ces spécialités ne sont plus disponibles en pharmacie.
Le laboratoire allemand Merck a annoncé le 21 février avoir décidé de suspendre la commercialisation de la nouvelle version du médicament Levothyrox. La ministre de la santé, Agnès Buzyn, a confirmé cette décision.
Le Levothyrox, un médicament utilisé pour traiter les troubles de la thyroïde, fait l’objet de controverses. Le laboratoire Merck, qui produit la spécialité à 200 mg, a décidé le 20 février de suspendre sa commercialisation en France. La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a confirmé cette décision.
Le Levothyrox est un médicament indiqué dans le traitement de la thyroïde et qui est souvent prescrit en remplacement des hormones thyroïdiennes naturelles, notamment par les femmes en âge de procréer. En 2017, 30 % des patients prenant ce médicament étaient encore sous Levothyrox.
Les autorités sanitaires ont décidé de procéder à des analyses de laboratoires pour évaluer les risques liés à ce médicament, qui est également vendu sous le nom de Lévothyrox.
Merck a décidé la suspension de la commercialisation de la nouvelle version de ce médicament à 200 mg, qui contient du lactose, un sucre naturellement présent dans le lait, et dont la formule chimique a changé. Les analyses menées sur le laboratoire révèlent que « la nouvelle formulation de Levothyrox ne présente pas les mêmes risques liés au lactose que la formulation antérieure ».
Par ailleurs, Merck a demandé aux professionnels de santé « de ne plus prescrire de la nouvelle formule de Levothyrox » car le taux de patients non traités par la nouvelle formulation est « supérieur à 35 % ».
Quels sont les médicaments à base d’aspirine autorisés en automédication ? |
Afin de permettre aux patients de se soigner de manière autonome, les médicaments à base d’aspirine sont de plus en plus nombreux sur le marché. Certains sont remboursables, d’autres non et certaines sont même interdites à la vente. En automédication, ils ne sont autorisés que s’ils sont utilisés dans des circonstances exceptionnelles. Ils peuvent être proposés sur ordonnance, par les pharmaciens, mais doivent être mentionnés sur l’ordonnance. |
L'atropine est un agoniste muscarinique qui se lie aux récepteurs cholinergiques muscariniques. Elle est utilisée pour soulager les symptômes de la maladie de Parkinson.
L'atropine peut interagir avec les anticoagulants (par ex. la warfarine, l'héparine) et certains médicaments utilisés pour traiter l'hypertension artérielle. L'atropine peut aussi interagir avec certains médicaments pour le traitement des infections à levures, tels que le fluconazole.
Le médicament est habituellement prescrit pour le traitement à court terme des manifestations de la maladie de Parkinson. Il agit habituellement dans les 24 heures suivant l'administration, en diminuant la contraction des muscles de la face, du cou et du torse et en ralentissant la vidange gastrique.
Il pourrait se produire une interaction entre le médicament et l'un des agents ci-après:
·
Acide acétylsalicylique (AAS)
Acétaminophène
Acide valproïque
Cimétidine
Dénominations communes
Glucocorticoïdes (par ex.
C’est le verdict de la Haute Autorité de Santé (HAS) suite à sa commission de transparence sur les médicaments du laboratoire Merck Sharp & Dohme Corp. (Thyroïde). Dans un rapport rendu public aujourd’hui, la HAS a rendu son verdict concernant la Levothyrox, médicament prescrit pour traiter les troubles de la thyroïde. 300.000 Français seraient concernés par ce médicament.
La commission de transparence a rendu son verdict. L’étude a montré que le Levothyrox, médicament prescrit pour traiter les troubles de la thyroïde, peut entraîner de graves conséquences sur la santé, mais aussi un grand nombre de décès chez les patients concernés. L’affaire remonte au mois de janvier 2017. Le laboratoire Merck avait alors présenté des effets secondaires importants pour ses pilules de Levothyrox.
Les problèmes de la thyroïde sont multiples et peuvent entraîner de graves complications. Il peut être nécessaire de recourir à des médicaments tels que la lévothyroxine, le propylthiouracile ou la triméthylalanine.
Pour rappel, ces derniers ne sont pas compatibles avec d’autres médicaments comme la thyroïde elle-même. Cette dernière peut également être touchée.
La commission de transparence a établi un rapport qui souligne que les risques liés à la prise de Levothyrox étaient multiples. L’ANSM (Agence Nationale de sécurité du médicament) a indiqué que 16.489 plaintes ont été déposées concernant le médicament depuis janvier 2017. 800 décès ont également été signalés par les patients qui en étaient victimes sur la période de janvier 2017 à décembre 2020.
Les personnes concernées peuvent donc prendre connaissance de ce rapport et se faire aider, notamment par une consultation médicale.
Le rapport de la commission de transparence a été rendu public. Il fait état de 600.000 dossiers déposés concernant des patients qui ont eu recours au Levothyrox. Cette affaire date de 2017. Au moment où le médicament est devenu plus connu, des milliers de personnes ont déposé des plaintes.
Le Levothyrox est prescrit aux patients qui ont des troubles de la thyroïde ou qui ont déjà eu des troubles de la thyroïde. Il est utilisé pour traiter les personnes atteintes de certaines maladies de la thyroïde. Cependant, certaines personnes ont également été victimes d’effets secondaires importants qui ont conduit à un décès sur une période de plusieurs années. Les personnes concernées ont ainsi déposé une plainte auprès de la commission de transparence.
Le rapport précise que « la commission a été informée de la présence de plusieurs cas de décès liés à la prise de ce médicament ». Elle conclut également que « de nombreux décès ont été rapportés depuis 2017 sur le territoire national ».
Pour l’instant, la Commission de transparence n’a pas encore rendu ses conclusions. Cependant, d’après une source proche du dossier, la HAS a pris la décision de prendre en charge les victimes de ce médicament. L’affaire a également fait l’objet d’une enquête de pharmacovigilance. Le laboratoire Merck a donc été mis en examen en janvier 2021.
Les réactions ne se sont pas faites attendre suite à ce scandale. Le directeur de la pharmacovigilance de la HAS a été interrogé sur le sujet lors d’une audition.
« Les informations relatives à la présence d’effets indésirables de ce médicament ont été évaluées et confirmées par la HAS. En lien avec le laboratoire Merck, la HAS a donc décidé de prendre en charge ces personnes et a demandé à l’ANSM de mettre en œuvre un programme de recueil des informations disponibles auprès des professionnels de santé et des patients. L’agence a d’ores et déjà mis en place un dispositif permettant à toutes les personnes concernées de bénéficier d’un suivi médico-psychologique et de soins » a déclaré le directeur de la pharmacovigilance de la HAS.
Cette affaire a suscité de nombreuses réactions, et notamment de la part de la ministre de la Santé.
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